Carrefour participe à la première semaine belge contre le gaspillage alimentaire

Zaventem, le 28 septembre 2022 – Plus de la moitié du gaspillage alimentaire se produit à la maison. Pour inciter les consommateurs à vivre sans gaspillage alimentaire, Carrefour Belgique s’associe à la première « Zero Food Waste Week » organisée en Belgique par l’application Too Good to Go, dont l’enseigne est partenaire depuis 2018. Cette initiative, qui se déroule du 26 septembre au 2 octobre, s’ajoute aux nombreuses autres mesures mises en place par Carrefour Belgique dans ce domaine depuis plus de 15 ans.

Sept jours sans gaspillage alimentaire, une première en Belgique 

Ce 26 septembre a débuté en Belgique le tout premier « Défi anti-gaspi », organisé par Too Good To Go. Les consommateurs qui participent à ce challenge sont invités, chaque jour de la semaine, à relever un défi et à accomplir ainsi un pas dans la bonne direction. Les inscrits reçoivent également des idées de recettes, des trucs et astuces et de l'inspiration pour réduire le gaspillage au quotidien. 

« En tant que partenaire de la première heure de Too Good To Go, nous sommes heureux de nous associer à cette initiative, qui trouve tout son sens dans le contexte actuel de crise du pouvoir d’achat, et nous encourageons nos clients et collaborateurs à y participer activement », déclare Pascal Léglise, Directeur Responsabilité Sociétale et Qualité Développement durable de Carrefour Belgique.

Depuis 2018, Carrefour collabore en effet avec Too Good To Go. Cette application permet d’identifier les commerces partenaires et offre ainsi la possibilité aux utilisateurs de réserver des paniers de produits proches de leur date de péremption à des prix avantageux et de lutter contre le gaspillage alimentaire. Au fil des mois, ce partenariat n’a fait que se renforcer et il concerne aujourd’hui 463 magasins. Au total, plus d’un demi-million de paniers ont ainsi été distribués par des magasins Carrefour en Belgique depuis le début de la collaboration. Carrefour représente ainsi un sixième du total des colis vendus via Too Good To Go.

Un engagement sur tous les fronts

Acteur engagé dans la lutte contre le gaspillage alimentaire depuis plus de 15 ans, Carrefour s’engage à réduire les pertes sur tous les fronts. La lutte contre le gaspillage alimentaire constitue en effet l’un des axes forts du programme ‘Act For Food’, développé par le groupe au niveau mondial. 

Pour Carrefour, dire stop au gaspillage commence par des procédures internes efficaces. Une attention toute particulière est ainsi accordée à la gestion des stocks, afin d’éviter au maximum les invendus. Lorsqu’un produit approche de la date limite de consommation, il est rapidement mis en promotion à prix réduit. Pour ce faire, l’enseigne organise des ventes rapides dans ses magasins. Facilement identifiables grâce à une étiquette jaune, ces produits peuvent aller jusqu’à –70% et sont encore consommables pendant quelques jours, parfois même quelques semaines pour les produits non-alimentaires. En outre, pour toute une série de produits impérissables (huiles, vinaigres, sucreries, alcools, etc…), Carrefour ne prévoit plus de date limite de consommation, précisément dans un souci de limiter le gaspillage alimentaire.

Quand anti-gaspi rime avec solidarité

Par ailleurs, l’anti-gaspi et la solidarité peuvent aussi aller de pair. Carrefour a ainsi été le premier distributeur alimentaire à s’associer à la Bourse aux Dons, une plateforme qui met en contact les associations et les magasins. Résultat : Carrefour a livré plus de 2 millions de repas qui ont été distribués aux plus démunis depuis le début de 2020, une période pendant laquelle la demande était évidemment très grande. 

Des efforts en matière de recyclage

Enfin, si malgré toutes ces initiatives, internes et externes, des produits restent invendus, l’histoire ne s’arrête pas là. Les invendus sont, dans la mesure du possible, recyclés et valorisés. Ils sont notamment utilisés comme matière première pour la biométhanisation, un processus de recyclage qui produit du gaz à partir de déchets organiques. Ce gaz peut ensuite être utilisé comme approvisionnement dans le réseau de gaz naturel, et donc aussi comme carburant pour les bus, le chauffage ou des applications industrielles.